Sceneweb.fr - Les duos d’Emanuel Gat

Depuis ses débuts de chorégraphe, Emanuel Gat est plutôt avare de duos, mais, quand il en crée un, c’est littéralement époustouflant, comme ces Variations d’Hiver données en 2009 à Montpellier Danse avec Roy Assaf. C’est l’occasion pour lui de se concentrer sur une forme qui induit un retour à l’essentiel. La limitation des possibilités de composition du fait du nombre restreint de danseurs implique un retour aux bases. L’attention portée au mouvement et la création d’un contexte fort deviennent des enjeux d’autant plus cruciaux.

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The Irish Times - Dublin Dance Festival : SUNNY

Time out was a carnivaleque interlude of dancers masking up and playacting with each other before they became restless again returning to creating vibrant elemental dance. Gat’s imagined designer sun eventually grew red in the sky as night approached and his dancers bodies created final great swathes and splashes of athletic colourful moves. Uplifting and finely tuned in every sense.

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No More Workhorse - Sunny, Abbey Theatre, Dublin Dance Festival

"A triumph of organised spontaneity. […] one of them wears a smoking jacket but without any trousers. They make an elegant and sophisticated looking gathering… a group of people worth belonging to. […] The combination of the variety of the dance sequences, the dancers’ ability to interpret the “spontaneous” sound and the sheer physicality of the movements of the dancers kept the audience riveted. Messrs Gat and Leon and the dancers, as if they were one entity, brought the audience to a place not previously known."

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Télérama - Sunny, Emanuel Gat

Un spectacle-concert pour dix danseurs, solaire et jouissif. […] La soirée s'y est achevée sur une ovation. Concert ou spectacle ? Awir Leon […] mixe en direct, solitaire, dans un angle de la scène, corps penché sur les platines, tête chuchotant au micro. Et déroule le tempo, alternant vagues puissantes et phases de repos. Complice bienveillant — dansant lui aussi pour produire sa musique et son chant modulé dans une langue anglaise adoucie —, il porte et enveloppe les dix danseurs.

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Journal Ventilo - L’avenir de Bobby

Le Grand Théâtre de Provence et le Théâtre de l’Olivier programment, ce mois-ci, SUNNY, la dernière création d’Emanuel Gat, chorégraphe israélien installé à Istres. L’occasion d’une rencontre sur la genèse de son travail.

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Tanz im August - Originale inaugurazione con “SUNNY” dell’israeliano Gat

Once they had returned to the scene, the dancers divided into groups of different sizes and began to move in unison. Frequently, they would fall out of this unison, only to repeat the same fragments of choreography until, after several attempts dancing the entire sequence of movements, they would attain it once again, or otherwise join a new group and restart the weary search for unison. Of particular note was the remarkable performance by Awir Leon.

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Inferno - Montpellier Danse 2016 : Awir Leon, Emanuel Gat, « SUNNY »

Dès sa première pièce en France, Emanuel Gat a pu compter sur le Festival Montpellier danse pour y présenter ses créations au point d’être maintenant chorégraphe associé à Montpellier Danse, c’est dire le chemin parcouru par cet artiste Israélien, installé à Istres avec sa Compagnie où il mène un travail de plus en plus remarquable et abouti

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MAG MAA - SUNNY, la sagesse d’un conte philosophique d’Emanuel Gat

Sunny, nouvelle pièce au répertoire de la compagnie Emanuel Gat a été créée dans le théâtre de l’Agora, le 25 juin au festival Montpellier Danse. Dans la lignée du travail délicat amorcé par l’artiste installé à Istres, le spectacle comprenant un dj live d’Awir Leon (aussi danseur de la compagnie), ouvre une réflexion gigogne sur le processus de création chorégraphique.

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L’Obs - A l'opéra du Rhin : le Ballet du Rhin

On serait fier de pouvoir saisir le processus logique – s’il y en a un, ce dont on doute fort -- qui conduit à donner un titre en anglais à une soirée composée de deux chorégraphies, l’une étant créée par un artiste israélien francophone résidant en France, l’autre par un artiste suédois ; deux chorégraphies interprétées de surcroît par une grande compagnie française, le Ballet national du Rhin, pour un public lui aussi francophone. Pourquoi un titre en anglais ? Mystère. Rien, ni l’origine des auteurs, ni leur sujet d’inspiration, et moins encore l’implantation géographique de la compagnie ne le justifie.

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NY Times - Shimmy, Spasm, Stamp With Mozart’s Requiem

When words and music are addressed to God, it’s a rare choreographer who can accompany them with movement that looks anything other than piffling. Dance — by showing the ideal qualities of the human form and/or by making use of time and space — can reveal the sublime, but it usually looks thin when it tries to address the religious.

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NRC - Gat vertilt zich in ballet Requiem

Emanuel Gat is een waaghals. De Israëliër zet zijn choreografieën het liefst op beroemde muziekstukken. Zoals op Stravinsky’s Le Sacre du printemps, een ontzagwekkend muziekmonster dat hij met salsapassen knap bedwingt tot een ingetogen en meeslepend dansritueel. Ook maakte hij al een duet op Schuberts romantische Winterreise. Zijn nieuwste waagstuk heet K626 en is gezet op Mozarts Requiem, ; die dodenmis beladen met zonde en vergeving en met aan het slot het eeuwige licht. Hoe vertaal je Latijnse koorzang naar dans, als je niet de verheven stemming ervan tot uitdrukking wil brengen in clichés van geheven benen en pathetische armgebaren?

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Der Theaterverlag - Emanuel Gat « Rite of Spring », « K626 »

His shaved head, pronounced brow, his piercing eyes and warm smile, make for a disarming combination of looks and intention. In no uncertain terms, the Israeli-born choreographer is making people take notice. At 37, Gat is gaining international recognition for his choreographic work. In his new­est evening-length work for 11 female dancers, “K626,” Gat turns to Mozart‘s solemn and spiritual “Requiem“ in D minor, and infuses it with hip-hop moves, while his “Rite of Spring” works with a sensuous salsa transforming the thundering opus. Dissonance? Perhaps.

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