K626 (60’)
Première le 6 juin 2006, au Festival de Marseille
Chorégraphie, costumes et lumières / Emanuel Gat
Assistant chorégraphique / Roy Assaf
Musique / Wolfgang Amadeus Mozart "Requiem, K626"
Danseurs / Noa Gimelshtein, Noa Shavit, Alexis Jestin, Mia Alon, Roy Assaf, Maeva Berthelot, David Gernez.
Production / Emanuel Gat Dance
Co-production / Festival de Marseille (France) ; American Dance festival (USA) ; TANZtheater INTERNATIONAL (Germany) ; GRAN teater for Dans (Denmark)
Avec le soutien de: Dellal Foundation, The Israeli ministry of foreign affairs, Theatre de l'Olivier d'Istres - France, Israel National Lottery-council of the arts.
La compagnie Emanuel Gat Dance est soutenue par Ouest-Provence, la Maison de la Danse intercommunale Ouest-Provence, la Direction Régionale des Affaires Culturelles Provence Alpes , le Conseil Général des Bouches du Rhône
La compagnie Emanuel Gat Dance recoit le soutien de la Fondation BNP Paribas pour le developpement de ses projets. Côte d’Azur.
« La chorégraphie d’Emanuel Gat se fonde sur les 13 fragments de base de la composition originale inachevée. Le caractère fragmentaire est souligné par le fait que la danse débute avant que la musique commence à résonner et elle se poursuit alors que les dernières mesures se sont depuis longtemps éteintes. Lors d’une interruption plus longue de l’enregistrement, l’action bascule dans l’irrémédiable : sans caisse de résonance musicale, les danseurs paraissent perturbés, les mouvements donnent l’impression d’être froidement disséqués. La cohésion du groupe vole en éclats. Pourtant la force du collectif est ce qui frappe le plus dans la chorégraphie de Gat. Il avance comme propulsé par une grande énergie, les corps étroitement serrés. Et pourtant les danseurs ne se déplacent jamais de façon totalement identique. Le jeu souple des bras se complète en motifs entrelacés. Emanuel Gat laisse aussi de la place aux expressions individuelles. De temps en temps une femme se détache du groupe pour un court solo marquant : parfois timide et introverti, parfois sûr de soi et séduisant. »
Extrait d’article de Sandra Luzina