Du reste, l’usage des pointes, pas plus empêché que celui des pieds nus ; la jolie robe et le pantalon à plis, pas plus que la tunique transparente ou le kilt, noir et blanc, camaïeu, avec des pointes des couleurs vives. Tout un précipité pour de talentueux et fougueux danseurs transposé dans l’élégance des formes. Outre ce, des lumières activant la plastique des corps ou soulignant des temporalités entre confidence et plein feux des studios ; des musiques signées Gat, d’autres étonnamment chatoyantes, comme ce quatuor de tubas signé John Stevens.
Avoir été présent à cela, c’est avoir donné du temps à la pensée.
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